Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Thé Canelle Orange
25 avril 2009

Arnica...

Aujourd'hui, j'ai décidé de faire un post sur les bienfaits de l'Arnica car c'et ce que nous devrions toujours avoir dans notre poche.
Effectivement, ces petites granules nous sortent de bien des problèmes !!!

Arnica montana ou Arnica des montagnes

L'Arnica fait parti des ces remèdes à toujours avoir sur soi. Les mamans connaissent bien son effet miraculeux. 3 granules après un choc, une chute ou même un traumatisme émotionnel brutal (annonce d’une mauvaise nouvelle par exemple) soulage instantanément. Immédiatement après le choc (bleu, œil au beurre noir, bosse…) on donne Arnica 4 CH, puis une demi-heure plus tard. Le bleu disparaîtra et la bosse cessera de pousser. Si le coup est plus profond, plus douloureux, ou s’il s’agit d’un choc émotionnel, on préfèrera Arnica 9 CH. Arnica montana se révèle aussi intéressant pour activer la cicatrisation des blessures, soulager les courbatures musculaires ou même les sciatiques. Dans ce cas, ce sera en 9 CH, 2 fois par jour. Rappelons que la prise d’un médicament homéopathique doit se faire à 1/2h de toute prise alimentaire.

°MERCI CHRISTIANE °

arnica

Phytothérapie

En médecine traditionnelle, l'usage de l'arnica des montagnes est décrit dans des pharmacopées européennes pour son usage comme un anti-irritant pour le traitement de la douleur et des inflammations résultant de petits traumatismes comme les hématomes, ecchymoses, furoncles, piqûres d’insectes ou les insuffisances veineuses phlébite superficielles. Toutefois ces usages ne sont pas soutenus par des études scientifiques.

Plusieurs formes galéniques sont utilisées par les phytothérapeutes. Il s'agit d'infusions pour compresses de Arnicae flos, de teintures mères 1 DH de Arnicae herba, de Arnicae planta tota ou de Arnicae flos (nommée Tinctura arnicae) et d'onguents ou de macérations huileuses de Arnicae flos pour un usage externe en application directe. L'usage de teinture pure de capitules peut donner lieu à des réactions allergiques parfois graves. Il est donc recommandé de l'étendre de dix fois son volume d'eau (1DH) et il est préférable d'employer Arnica montana uniquement sur les traumatismes sans plaies ouvertes

Arnica_montana


Hématomes, œdèmes, dislocations, contusions, troubles musculaires et articulaires, furoncles, piqûres d’insectes, phlébite

Ne pas appliquer sur les plaies ouvertes.

    * Infusion pour compresses. Infuser, durant 5 à 10 minutes, 2 g de fleurs séchées dans 100 ml d’eau bouillante. Laisser refroidir et appliquer sur la partie atteinte, plusieurs fois par jour, une compresse imbibée de cette infusion.
    * Teinture (1:10 dans éthanol à 40 %). Diluer une partie de teinture dans trois à dix parties d’eau. Appliquer sur la partie atteinte, plusieurs fois par jour, une compresse imbibée de cette infusion.
    * Onguent (renfermant de 20 % à 25 % de teinture ou 15 % d’huile d’arnica). Appliquer, plusieurs fois par jour, sur la partie atteinte. L’huile d’arnica est composée d’une partie de plante pour cinq parties d’huile végétale (1:5).

Inflammation de la cavité orale et de la gorge

    * Teinture (1:10 dans éthanol à 40 %). Diluer une partie de teinture dans dix parties d’eau. Utiliser cette solution comme rince-bouche ou gargarisme plusieurs fois par jour. Ne pas avaler.

ref :www.passeportsante.net

arnica_fleurs

Contre-indications

Hypersensibilité à la fleur d'arnica ou d'un autres composées.

Grossesse, lactancia (voie orale).

Blessures ouvertes, dermatite (utilisation d'actualité).


  L’efficacité de l’arnica est telle que les chercheurs ont commencé par se pencher sur sa composition chimique. Ils ont ainsi isolé des dizaines de substances actives dont principalement des flavonoïdes, des huiles essentielles, des coumarines, des tanins et des résines.

L’arnica, présente dans la pharmacopée française et européenne, a donc pu accéder au rang de médicament. Les principes actifs sont concentrés dans les pétales. Les études récentes démontrent indiscutablement les propriétés antalgiques (anti-douleur), anti-inflammatoires, cicatrisantes, et circulatoires de l’arnica.

Précaution d’emploi
Hormis en traitement homéopathique, l’arnica ne doit pas être pris en interne. Il faut éviter de le mettre directement sur les plaies ouvertes. En externe, les seuls effets secondaires peuvent être une irritation ou une inflammation locales surtout chez les personnes allergiques aux astéracées (camomille, échinacée, pissenlit…), ce qui n’est pas très courant.

ref : univers-nature

Koeh_015


L'arnica des montagnes (Arnica montana) est une espèce de plante herbacée vivace rhizomateuse du genre Arnica et de la famille des Asteraceae. Cette plante européenne principalement montagnarde est typique des sols acides et pauvres en éléments nutritifs. Ses populations, fortement malmenées par l'agriculture intensive, deviennent de plus en plus rares. Cette situation lui vaut d'ailleurs d'être nommée dans de nombreux textes de loi la protégeant et particulièrement dans la Directive habitats européenne.

En médecine traditionnelle, l'arnica des montagnes est décrite dans des pharmacopées européennes pour son usage dans le traitement de petits traumatismes comme les hématomes mais cet usage n'est pas soutenu par des études scientifiques. Les études sur les préparations homéopathiques n'ont pas montré d'efficacité supérieure à un placebo. Mais quelques études récentes, notamment sur un œdème de rat, ont montré que la molécule la plus active de l'arnica serait l'hénélalanine, comme antiphlogistique, à des doses inférieures à celles habituellement données avec des médicaments comportant les molécules indométacine et phénylbutazone.

Afin de fournir les laboratoires pharmaceutiques, dont la demande européenne annuelle est estimée à 50 tonnes de capitules secs, l'arnica est cueillie à l'état sauvage[7]. Cependant, la demande croissante en produits phytothérapeutiques et homéopathiques et sa rareté semblent inconciliables. En effet, devant la raréfaction des stations sauvages, la cueillette tend à se concentrer sur quelques sites et à les surexploiter. De plus, sa culture reste à l'heure actuelle aléatoire tant ses exigences sont nombreuses

Néanmoins, des alternatives se mettent en place : la recherche sur sa culture avance, l'Allemagne et la communauté européenne ont ouvert leur pharmacopée pour accueillir une plante thérapeutiquement équivalente[8] tandis que d'autres mettent en place des conventions entre les différentes parties en jeu afin de concilier économie et écologie

Plante vivace de 20 à 40 cm, à rosette, l'arnica commune des montagnes (Arnica montana subsp montana) fleurit entre mai et août selon les étages de végétation. Elle est pollinisée par les insectes et ses graines sont dispersées par le vent[1].

Toute la plante est de couleur vert pâle et couverte de poils glanduleux très odorants. Cette plante est facilement reconnaissable d'une part grâce à ses feuilles basilaires sessiles, ovales et à nervures longitudinales saillantes en dessous ; l'ensemble des rosettes forme couramment des plaques compactes. D'autre part, elle s'identifie aisément grâce à sa hampe florale de 20 à 40 cm munie de 2 petites feuilles caulinaires opposées ou sub-opposées. Ses capitules jaunes-orangés sont assez grands (6-8 cm) et solitaires (ou réunis par 3 ou 4), dégageant une forte odeur aromatique caractéristique. Comme chez beaucoup d'Asteraceae, le capitule est composé de fleurs ligulées femelles (longueur : 20-30 mm) et de fleurs tubulées hermaphrodites (longueur : 15 mm).

Le fruit est un akène

akene_pissentit_Luc_Viatour

(akène de pissenlit, pour exemple)

(n'est pas soudé à la graine) dont la graine est légèrement velue et aussi longue que l'aigrette de soies blanchâtres et non plumeuses qui la surmonte.

D'après Pierandrea Mattioli,(médecin et un botaniste italien, né le 23 mars 1501 à Sienne et mort le 1577 à Trente de la peste.) dans la Grèce antique, la plante nommée par Dioscoride alcimos, c'est-à-dire « salutaire » serait l'arnica des montagnes.

En Europe, Arnica montana est inscrite sur la liste des plantes protégées de certains pays. Elle est considérée « indéterminée » à Kaliningrad et en Ukraine ; « rare » en République tchèque et « vulnérable » en Bosnie-Herzégovine, en Lituanie, en Pologne, aux Pays-Bas, en Finlande, en Suède et au Portugal.

En France, les deux sous-espèces montana et atlantica sont soumises à réglementation[47] municipale (Vosges), préfectorale[48] (Cher, Loiret, Alpes-de-Haute-Provence[49] et Lot[50]), départementale (Cher[51], Loiret[52] et Isère[53]) et régionale (Centre[54], Bourgogne[55] et Aquitaine[56]). « Dans ces territoires, sont interdits, en tout temps, la destruction, la coupe, la mutilation, l'arrachage, la cueillette ou l'enlèvement, le colportage, l'utilisation, la mise en vente, la vente ou l'achat de tout ou partie des spécimens sauvages. Toutefois, les interdictions de destruction, de coupe, de mutilation et d'arrachage ne sont pas applicables aux opérations d'exploitation courante des fonds ruraux sur les parcelles habituellement cultivées. » Arnica montana est également protégée dans le cadre de la convention alpine et de certains Parc nationaux.
ref: wikipédia.

laurence_bar

petit jeu de coloriage pour les enfants :

(un clic sur l'image et vous l'aurez en grand !)

fleurs_de_montagne_arnica

Bon samedi à vous !

Publicité
Publicité
Commentaires
L
J'en apprends des jolies choses avec toi !!!.....<br /> Doux bisous
C
j'en ai tj à la maison et des doses dans mon sac, normalement !!! merci pour toutes ces infos
X
bravo !
F
De bonnes vertues l'arnica, merci pour tout<br /> Bisous<br /> Françoise
J
Moi qui suis toujours par terre (lol) j'ai une crême à l'arnica mais je n'en connaissais pas toutes les vertues. BIZ et merci pour ces infos. BKcine
Publicité